1. Comment es-tu tombée dans le chaudron (coaching) ? 

Mystère… je n’en sais rien, une sorte d’appel pour un métier auquel je ne connaissais rien, mais (inconsciemment) animé par une quête de connaissance et de compréhension de l’humain, par le fait que j’ai toujours beaucoup observé les comportements des autres depuis ma petite enfance et aussi qu’on me reconnaît de longue date des facultés d’écoute.

2.   Depuis combien de temps coaches-tu ?

J’ai commencé en 2015

3. Ta définition du coaching ?

Mettre à disposition d’un client un cerveau et des outils lui permettant en miroir de grandir en conscience, en responsabilité et en connaissance de soi à la faveur de la résolution d’une problématique.

Un dessin qui représente le coaching pour toi.

4. Ta formation ?

Certifications : International Mozaik et Linkup et formations Elément humain, Process Com, Pratiques narratives, plus d’autres modules sur des thématiques spécifiques (intuition, intelligence collective, enfant intérieur, argent, …)  

5. Comment as-tu choisi ta ou tes formations ?

Profondeur, approche, pédagogie, feeling, coût.

6. Comment as-tu choisi ta cible ? (Coaching scolaire, coaching de dirigeant, coaching féminin, …)

Transition professionnelle, transformation et leadership de soi, relations interpersonnelles :

Elle s’impose en miroir elle aussi de mon expérience et de qui je suis.

7. Penses-tu qu’il convienne avant d’exercer de suivre un coaching, une thérapie, … ?

OUI ! fondamental et incontournable pour exercer avec puissance pour son client et sereinement pour soi. Comment exercer dans la relation d’aide sans commencer par soi ??? « Charité bien ordonnée commence par soi-même. »

8. Un coach légitime cela signifie quoi pour toi ?

Conscient, bienveillant, à l’aise et heureux dans sa pratique, heureux d’apprendre et d’aller éclairer ses zones d’ombre à l’occasion.

9. Et toi, au début, c’était comment ? (Légitimité, client, cible, cabinet, lieu)

Tâtonnant sur le lieu et la formule : cabinet ou pas ? et la question de légitimité en tête ha ha !

10. La supervision, c’est quoi ce machin ?

On peut dire que ça fait partie du système pour confronter, recentrer, apaiser, apprendre. Incontournable et fort justement, la supervision est un impératif au plan déontologique.

11. Que penses-tu des autres formes telles que la supervision en groupe, l’Intervision, … ?

Puissance du partage, source d’apprentissage.

12. Est-ce utile ?

Est-ce utile de répondre à nouveau ?

13. Es-tu supervisé(e) ?

Oui

14. Es-tu superviseur(se) ?

Non pas pour l’instant

15. Si tu devais expliquer la différence entre le coaching et la thérapie à un enfant de 10-11 ans, que lui dirais tu ?

Plusieurs choses :

Que le coaching tout comme la thérapie, c’est le client qui doit y trouver des réponses, les siennes.

Que le coaching comme la thérapie, si on n’en voit pas la nécessité, cela ne sert à rien.

Et que le coaching c’est une démarche tournée vers l’avenir, pragmatique à court terme, orientée vers la résolution par le client (et lui seul) de sa problématique par l’atteinte d’un objectif SMART. J’ajouterais que les apprentissages associés au processus de coaching offrent une meilleure connaissance de soi et sont modélisants dans d’autres situations. A l’inverse la thérapie s’intéresse à l’histoire passée et vise à comprendre et réparer.

16. Peut-on coacher nos proches, amis, familles ?

Heureusement non ! #déontologie, #ne pas vouloir pour les autres, #restons dans nos compétences…